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Le combat de Monseigneur Duval pour la liberté des peuples d’Algérie
Ses détracteurs le surnommaient « Mohamed Duval ». Un surnom qu’ils n’ont pas choisi au hasard, tant Monseigneur Léon-Etienne Duval, archevêque d’Alger, était un farouche défenseur de l’Algérie indépendante. « Ils m’ont rendu un très grand service. Ce surnom de Mohamed Duval en fait m’a fait plaisir parce qu’il a prouvé une chose, c’est que l’église catholique n’est pas ghetto, elle n’est pas une chapelle fermée, elle est ouverte à tout le monde, elle doit être accueillante pour n’importe qui quelque soit sa position religieuse ».
Vent de « Liberté », sur les œillères de l’Histoire
Longtemps les films de Tony Gatlif n’ont été récompensés, en France, que pour leurs musiques. Tant il est vrai qu’elles nous plongeaient au cœur des histoires que le cinéaste nous offrait.
De grandes récurrences émaillaient ces narrations, comme dans la plus pure tradition des contes : un personnage principal nous menant dans sa quête personnelle, aux travers de feux initiatiques.
L'égalité c'est féminin !
Souvenez-vous ! Il y a huit ans déjà, notre fédération organisait les « Etats Généraux des Femmes des Quartiers ». Pour la première fois, 250 femmes issues de nos quartiers populaires se réunissaient à la Sorbonne, à Paris, pour exprimer leurs difficultés quotidiennes et ainsi libérer la parole.
Des soldats de la liberté face à la mort, des guerriers de l'égalité face à leur droit
En
1917, pour recruter des « indigènes » dans l’armée française, Blaise
Diagne, unique député noir africain nommé délégué du gouvernement,
parcourait l’Afrique en reprenant le slogan « En versant le même sang,
vous gagnerez les mêmes droits ». C’est avec cette promesse que des
dizaines de milliers d’africains furent enrôlés dans les troupes
françaises.
Vers la régression… on dit non !
Le mariage forcé, pratique vieille de plusieurs siècles, est un terme utilisé pour décrire un mariage dans lequel l’une des parties, le plus souvent la femme, est mariée contre son gré.
Malgré les révoltes et la mise en avant de ce problème par le biais des associations et des mouvements féministes, à l’échelle internationale, ce type de mariage est une pratique qui perdure voire même qui augmente, depuis environ six ans, puisqu’on recense environ une trentaine de cas par an.