Italie : des vagues de régularisation

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Jeudi, 12 Septembre, 2013
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Durant les 20 dernières années, les régularisations massives de travailleurs sans papiers ont permis de donner des titres de séjour à des centaines de milliers de clandestins venus apporter leur force de travail pour le développement économique du pays.

L’Italie compte 3 millions d’étrangers sur une population globale de 60 millions. Parmi ceux-ci, 1,5 millions sont installés régulièrement depuis plus de 5 ans. Les immigrés entrés clandestinement ont fait l’objet de plusieurs vagues de régularisation. Ainsi tous les 5 ans, 200 000 travailleurs sans papiers sont régularisés (218 000 en 1990, 234 000 en 1996, 250 000 en 1999 et 700 000 par le gouvernement de Silvio Berlusconi durant les années 2000). Dernièrement, en novembre 2012, ce sont 134 516 demandes de papier qui ont été acceptées, alors que le gouvernement en attendait entre 350 000 et 500 000.

 

Selon le Syndicat des travailleurs italiens, ce faible nombre de demandes est dû au fait que les employeurs doivent s’acquitter d’une amende de 1 000 euros et de six mois de cotisations sociales pour régulariser leurs travailleurs sans papiers. Par le passé, l’amende n’était que de 500 euros.

 

Néanmoins, les politiques de régularisation italienne sont plus avantageuses qu’en France quand on compare avec les critères précis de la circulaire de Manuel Vals de novembre 2012 qui réclament entre 18 et 30 mois de versement de cotisations sociales pour régulariser les travailleurs sans papiers.

 

Samuel Thomas

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