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Le combat de Monseigneur Duval pour la liberté des peuples d’Algérie

Samedi, 13 Octobre, 2012
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Alors que la guerre d’Algérie faisait rage, le Français Léon-Etienne Duval, archevêque d’Alger, n’a pas hésité à prendre position pour l’indépendance de l’Algérie, condamnant la violence et l’usage de la torture.

 


Ses détracteurs le surnommaient « Mohamed Duval ». Un surnom qu’ils n’ont pas choisi au hasard, tant Monseigneur Léon-Etienne Duval, archevêque d’Alger, était un farouche défenseur de l’Algérie indépendante. « Ils m’ont rendu un très grand service. Ce surnom de Mohamed Duval en fait m’a fait plaisir parce qu’il a prouvé une chose, c’est que l’église catholique n’est pas ghetto, elle n’est pas une chapelle fermée, elle est ouverte à tout le monde, elle doit être accueillante pour n’importe qui quelque soit sa position religieuse ».

 

Bollardière, le général qui s’est rebellé contre la torture

Samedi, 13 Octobre, 2012
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Le Général Jacques Pâris Bollardière est le premier officier français à avoir ouvertement condamné la torture qui sévissait durant la guerre d’Algérie. Il a exigé en 1957 d’être relevé de ses fonctions, refusant d’appliquer des méthodes qu’il estimait contraire aux valeurs de la France.

Un rebelle. Il l’a été toute sa vie pour défendre la dignité humaine. Désobéir aux ordres qu’il ne cautionnait pas était une habitude chez le général Jacques Pâris Bollardière.

 

Massacre de Sétif, l’amnésie française

Samedi, 13 Octobre, 2012
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Une boucherie. Un massacre. Une barbarie. Aucun mot ne peut qualifier l’enfer qu’ont vécu les Algériens suite à la révolte de Sétif. Le 8 mai 1945, alors que la France célèbre la libération, de l’autre côté de la mer, règnent les ténèbres.

« Libérez Messali », « Nous voulons être vos égaux », « Vive l’Algérie indépendante », « À bas le colonialisme », scandent les 10 000 manifestants, répondant à l’appel du Parti du peuple algérien (PPA), dont le chef Messali Hadj a été arrêté en 1939. Mais la contestation dérape lorsqu’un qu’un jeune homme de 26 ans, Bouzid Saâl, arbore le drapeau algérien. Il est abattu par un policier. C’est le premier martyr de Sétif. Des heurts éclatent entre Européens et manifestants, faisant 28 morts. Des membres du PPA sont interpellés.

Germaine Tillion, l’avocate des peuples d’Algérie

Samedi, 13 Octobre, 2012
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Durant la guerre d’Algérie, l’ethnologue française Germaine Tillion a sauvé au moins 250 prisonniers algériens de la peine de mort, dénonçant sans relâche la torture et la violence. Considérant l’Algérie comme sa propre patrie, elle a utilisé ses connaissances pour aider les plus démunis.

Germaine Tillion ressentait les souffrances du peuple algérien au plus profond d’elle-même et n’était pas indifférente au sort des détenus victimes d’injustice. Elle a ainsi sauvé 250 prisonniers de la peine de mort, évitant la torture à ceux qui en étaient menacés. « …Je n’ai pas choisi les gens à sauver : j’ai sauvé délibérément tous ceux que j’ai pu, Algériens et Français de toutes opinions. »

 

Dénoncer la torture