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Survivre : Parcours de combattante

Lundi, 15 Novembre, 2010
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La violence conjugale n'est pas anodine. Le témoignage de Marie* décrit ses méfaits au quotidien, surtout sur les enfants. Sa logique implacable plonge souvent des familles monoparentales dans la précarité, faute de soutien des pouvoirs publics. Ce témoignage démonte surtout les mécanismes d'une violence insidieuse, silencieuse, dont il est difficile à rendre compte dans toute son ampleur.


Je l'ai rencontré en 2007. Ça a été de suite une passion, on était tout le temps ensemble. Huit mois plus tard, je suis tombée enceinte et on a décidé de garder le bébé. A ce moment-là, j'étais entre deux chaises, je pensais à le quitter parce qu’il y avait certaines choses qui m'interpelaient. J'étais autonome, j'avais un travail, je gagnais 2 000 € par mois. Lui ne travaillait pas. J’ai emménagé chez lui et là ça a commencé, des relations de couple dans la brutalité totale.

L'enseignement malien dérive sur un fleuve de savoir asséché

Lundi, 16 Novembre, 2009
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A 240 km de Bamako, Segou, petite ville malienne sur la route de Mopti.  Un avre de paix où la douceur de vivre glisse sur votre peau comme la perche du piroguier caresse l’eau. Mémé Coulibaly, 52 ans, directeur d’école nous ouvre les portes de son école primaire Brehima Oulé dans le quartier de Pelingana Sud.

(crédit Photo: Nadjib SELLALI)

Nadjib SELLALI : Combien d’élèves y a-t-il ici ?

Mémé Coulibaly : (Il esquisse un sourire) 551 élèves, il y a 247 filles pour 304 garçons, nous avons 6 classes de 70 à 100 élèves. Pour chaque classe de niveau nous avons deux maîtres en double vacation, c'est-à-dire que l’un assure les cours durant la matinée et l’autre l’après midi. Avec une équipe pédagogique qui a entre 28 et 58 ans.

 

N.S : D’où viennent les financements de votre école ?