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Twitter : le réseau social héberge la haine raciale

Mardi, 24 Décembre, 2013
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« #UnBonJuif est un juif mort » ; « #UnBonJuif est un juif qui sent le cramer » ; « #UnBonJuif torture 6 petits Palestiniens tous les matins » sont les commentaires [tweets] que publiait le réseau social Twitter, en octobre 2012.

Ce ne sont là que des exemples parmi d’autres tout aussi nauséabonds. Aussitôt, les organisations antiracistes réagissent : elles demandent au réseau social de retirer ces propos racistes. Sous couvert de liberté d’expression, Twitter rappelait qu’elle est soumise aux lois américaines et qu’elle ne peut porter atteinte à une liberté fondamentale. Néanmoins, les utilisateurs du réseau social sont en France et porte atteinte aux lois françaises.

 

Colmar, des tags racistes

Mardi, 24 Décembre, 2013
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Au mois d’Avril, la plupart des Français vont chercher des chocolats. Les néo-nazis, eux, célèbrent, à leur singulière manière, la naissance et le décès d’Adolf Hitler. Une vénération morbide qui se traduit notamment par des profanations de cimetières. Ces jeunes de l’extrême droite qui ne font pas la fête comme les autres : le 3 mars 2009, des jeunes lycéens décident de célébrer l’anniversaire de l’un d’eux, en dégradant les murs de la ville de BARR, dans le Bas-Rhin, à l’aide de pochoirs téléchargés sur le nauséabond site néonazi MNSF.

Ces 3 jeunes réitèrent l’expérience dans la nuit du 14 au 15 avril 2009 pour fêter l’obtention du permis de conduire de l’un d’eux. Celui-ci reconnaît avoir acheté des bombes de peinture et avoir dégradé divers endroit dont les murs de la mosquée, les enquêteurs ont révélé qu’il été inscrit sur la porte d’entrée de la mosquée de la maison de l’association Franco-Turque les mentions suivante. «Islam dehors» et « Islam raus 6 » ; une croix gammée y était associée. Leur action était préméditée.

Cimetière de Herrlisheim : Un militant FN profane des tombes

Lundi, 23 Décembre, 2013
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Au mois d’Avril, la plupart des Français vont chercher des chocolats. Les néo-nazis, eux, célèbrent, à leur singulière manière, la naissance et le décès d’Adolf Hitler. Une vénération morbide qui se traduit notamment par des profanations de cimetières.

 Le 30 avril 2004, l’indignation est à son comble et pour cause, ce sont cent vingt sept tombes profanées qui sont découvertes au cimetière juif de Herrlisheim avec croix gammées et inscriptions antisémites. L’indignation est générale, la colère aussi. La classe politique condamne unanimement ces actes. Sept mois d’enquête ont été nécessaires pour identifier les coupables : Emmanuel Rist, 37 ans, considéré comme la «tête pensante» du groupe néonazi, Laurent Boulanger, 27 ans, Laurent Peterschmitt, 28 ans.

 

Fatimata Ndiaye et Zitouna Idir: deux testeuses de République

Mercredi, 11 Décembre, 2013
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Malgré le triste exemple de discrimination dans l’accès au logement pratiquée par des agences immobilières peu scrupuleuses : deux condamnations judiciaires ont encore une fois été obtenues !

A la recherche d’un logement privé, Fatimata NDIAYE, jeune salariée parisienne, a contacté par téléphone une propriétaire ayant un appartement à louer. Avant d’émettre une certaine remarque sur la consonance du nom de son interlocutrice, la propriétaire lui a indiqué que l’appartement était libre.

 

Peu de temps après, Madame NDIAYE prend à nouveau contact avec cette propriétaire afin d’obtenir davantage d’informations sur l’appartement. Cette dernière lui rétorque alors que le local n’est plus disponible.

 

Hamou et Kouame : avec et sans testing, la justice condamne !

Mardi, 10 Décembre, 2013
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 « Je ne peux pas louer à des gens de couleur ». Cette petite phrase, glissée au détour d’une conversation téléphonique enregistrée par SOS Racisme, condamnera son auteur, Madame Maurel, gérante de l’agence CIT, à Toulouse, Monsieur Labatut, le propriétaire de l’appartement que souhaitaient louer Gilles et Malika, ainsi que Annie GARNIER, membre de l’agence immobilière de Cheuvry pour avoir refusé de louer un appartement à Monsieur Florentin Kouamé.

Poursuivie en justice, la gérante de l’agence avait indiqué qu’elle ne faisait qu’obéir aux consignes du propriétaire. Cette tentative de justification n’a pas fait mouche, ni auprès du parquet ni auprès du juge, qui ont reconnu l’existence d’une discrimination raciale à la location.

 

Ainsi, en mars 2003, chacun des discriminateurs a été condamné à une amende de 3.000 euros et au paiement de la somme de 1.000 euros à Malika Hamou au titre des dommages et intérêts, en plus des frais d’avocats.

 

Mil’im : un réseau d’agences immobilieres aux pratiques discriminatoires

Lundi, 9 Décembre, 2013
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Cette affaire débute au début des années 2000 lorsque des salariés des agences MIL’IM dénoncaient à SOS Racisme l’existence d’un système de codification discriminatoire au sein de l’entreprise.

 

Mil’im : un réseau d’agences immobilieres aux pratiques discriminatoires

Jeudi, 15 Mai, 2014
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Cette affaire débute au début des années 2000 lorsque des salariés des agences MIL’IM dénoncaient à SOS Racisme l’existence d’un système de codification discriminatoire au sein de l’entreprise.

 

Mil’im : un réseau d’agences immobilieres aux pratiques discriminatoires

Jeudi, 15 Mai, 2014
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Cette affaire débute au début des années 2000 lorsque des salariés des agences MIL’IM dénoncaient à SOS Racisme l’existence d’un système de codification discriminatoire au sein de l’entreprise.

 

Sud Location : « P.E. » = pas d’étranger

Samedi, 7 Décembre, 2013
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Cette affaire débute au début des années 2000 lorsque des salariés des agences MIL’IM dénoncaient à SOS Racisme l’existence d’un système de codification discriminatoire au sein de l’entreprise. L’agence SUD LOCATION est une agence immobilière de type « marchand de liste » implantée à TOULOUSE. Elle disposait à cet effet d’un fichier de milliers de propriétaires, dont 250 pour lesquels etait precisée la mention P.E.

Certains propriétaires ont ainsi clairement spécifié à l’agence SUD LOCATION refuser de louer leur bien à des « étrangers ». Dans ce cas, en sage cocontractante obéissante, l’agence faisait apparaitre sur les fiches techniques des appartements la mention « PE » : « Pas d’Etranger ». Une telle mention impliquait alors l’exclusion à la location des personnes « étrangères », ainsi que des français d’origine étrangère.

 

OPAC de Saint-Etienne : retour sur la première condamnation d’un office HLM

Mardi, 28 Janvier, 2014
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Le Tribunal de Grande Instance de Saint-Etienne a, par une décision du 3 février 2009, condamné METROPOLE HABITAT à une amende de 20.000 euros avec sursis pour fichage ethnique et discrimination dans l’accès à un logement. Le Tribunal a également condamné l’organisme à verser 10.000 € de dommages et intérêts à SOS Racisme et 300€ à un locataire d’origine étrangère pour le préjudice moral d’avoir été fiché ethniquement.

 

Alerté par un rapport de la Mission Interministérielle d’Inspection du Logement Social (la MIILOS) qui relevait l’existence de discriminations raciales imputables à l’organisme HLM, SOS Racisme a entamé une procédure judiciaire à l’encontre de METROPOLE HABITAT.