Christine Chalier

¿Cómo las autoridades han logrado imponer la transparencia a los arrendadores de viviendas sociales en el “Gran Londres”? Colocando en práctica un sistema de atribución, basado en el Choice-based lettings de la ciudad de Delft en los Países Bajos.

La crisis en Europa, vanamente reprimida por algunos esfuerzos de austeridad, se mide por el mismo rasero de las poblaciones más vulnerables, estas que cada vez más gozan de menos. Actualmente, es urgente replantear las políticas públicas de vivienda con el fin de responder de la mejor manera a una demanda creciente y evitar así fenómenos como el de los dueños de tugurios, arrendadores sin escrúpulos y ultra selectivos, ya que, a este punto de la ruleta rusa, son en general los mismos que pierden, es decir, los migrantes que se ven privados de sus derechos.

Comment les autorités ont-elles réussi à imposer la transparence aux bailleurs sociaux dans le «Grand Londres» ? En mettant en place un système d’attribution, importé de Delft aux Pays-Bas, dès l’an 2000, le Choice-Based Lettings.

Dans le Grand Londres, il n’est désormais plus utile de remplir un dossier et d’attendre patiemment que celui-ci évolue au gré de variations totalement incontrôlables dans la pile posée sur le coin du bureau d’un

agent administratif.

On assiste actuellement à une montée de la xénophobie en Grèce. Les immigrés jouent-ils le rôle des boucs émissaires de la crise ?

De quoi parlons-nous lorsque nous parlons de la marche européenne des femmes ?

Vaincre le côté obscure de la force et instaurer la Glasnost, c’est ce qu’auront réussi à imposer les autorités aux bailleurs de logements sociaux dans le Grand Londres, en Angleterre. Comment ? En mettant en place un système d’attribution directement importé des Pays-Bas, de la ville de Delft précisément, dès l’an 2000, le Choice-Based Lettings.

La FNMDP a été cordialement invitée à assister à une réunion de coordination dans le cadre de la préparation de l'Alter Summit, le Forum Social Européen pour une autre Europe, qui devrait avoir lieu à Athènes au mois de juin. C'est ainsi que ce quatrième Tour de l’Égalité, qui n'est plus un simple tour de France, se termine à Bruxelles par la mise en commun de cette démarche citoyenne avec celle des forces sociales mobilisés pour une Europe sociale venue de tous les pays d'Europe.

A Gennevilliers, les marcheurs ont été reçus par le CQFD (Conseil des Quartiers de France pour la Diversité) présidé par Brice Nkonda. Ce cercle de réflexion et d’action dédié aux quartiers sensibles de France et à la diversité de notre pays avait organisé un débat sur le rapport sur la Refondation de l’Ecole de Vincent Peillon.

A Aubenas, l’équipe de SOS Racisme Ardèche mobilise les jeunes des cités HLM du quartier des Oliviers qui compte 1 380 habitants. Mais c’est à Privas qu’ils ont accueilli une étape du Tour de France de l’Egalité avec une coordination d’associations dont le MRAP et la LDH, autour du soutien aux travailleurs sans papiers.