Strasbourg pour l'Égalité le 1er décembre 2021

La rencontre-débat a eu lieu avec Floriane Varieras, adjointe chargée de la lutte contre les discriminations, solidarité, personnes vulnérables, Abdelkarim Ramdane adjoint au maire de Strasbourg, Emeline Devaux de la LICRA et Isuf Halimi de l’association Human Right.
Du côté de la LICRA, rien n'est prévu pour le 21 mars même mais durant le mois de mars est organisé un partenariat maillon pour l’engagement avec des pièces de théâtre, un congrès de la LICRA les 26 et 27 mars, une action sur le racisme anti-rom qui se tiendra dans le cadre du festival Arsmundo.
Concernant la situation de l’extrême droite à Strasbourg, la LICRA ne ressent pas de mouvement dit “zemmourien” et Abdelkarim Ramdanr explique qu'en termes politiques, l’extrême droite n’est pas très visible politiquement.
Concernant les opérations de testing, elles n'ont pas à proprement été réalisées mais plusieurs axes de démarches dans la lutte contre les discriminations ont été mis en place à Strasbourg comme la sensibilisation de toutes les discriminations, le travail autour de la mémoire, le soutien des victimes de discrimination, le travaul sur l’écoute et avec les autres institutions, visibiliser, connaître et faire connaître dans l’espace public les personnes issues de minorités/personnes issues des oppressions systémiques.
Pour les violences conjugales, 70 places d’hébergement victimes de violences conjugales ont été mises en place. Concernant l'ébergement des migrants et des demandeurs d’asiles et sans logis, ce sont 200-300 places qui sont apportées au pot commun pour aider le 115.
L'association paroles sans frontières soutient psychologiquement les personnes migrantes et mène une étude sur le traumatisme lié à l’immigration (traumatisme départ, retour et accueil).
Pour les déboutés du droit d’asile, l’État finance 800 places dans le diffu à Strasbourg. Toutefois, 150 places vont être supprimées et réservés à ceux qui sont en règle.
De son côté, la LICRA donne des cours de français pour aider les personnes en situation irrégulière, le café associatif et le Quai 67 à Strasbourg animent des cours de français par des bénévoles pour des personnes étrangères.
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