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Le racisme ne se confond pas avec le Patriotisme !

Vendredi, 24 Janvier, 2014
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Pratiquant avec ferveur la préférence nationale dans sa commune, Catherine Mégret se rendait coupable de discrimination réprimée par les textes de la République qu’elle représentait et qu’elle se devait d’honorer.

 

En 1998, un an après son élection au mandat de maire de Vitrolles, avec le soutien inconditionnel de son adjoint, Hubert Fayard, Catherine Mégret avait réservé une «prime de naissance» d’un montant de 5000 francs aux enfants nés de parents français ou ressortissants de la communauté européenne et habitant dans la commune.

 

Accès aux soins : discrimination à la CMU

Mercredi, 22 Janvier, 2014
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« Au moment d’être admis à exercer la médecine, je promets et je jure d’être fidèle aux lois de l’honneur et de la probité. Je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me le demandera. Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire. »

A la lecture de ce passage du serment d’Hippocrate le métier de médecin paraî indéniablement marqué du sceau de la noblesse et de l’humanisme. On pourrait par conséquent espérer que l’ensemble de ses représentants exercent la profession en suivant ces préceptes et en traitant chaque malade de façon identique quelle que soit sa fortune.

 

Cependant, pour certains d’entre eux, le constat est tout autre. En effet, il apparaît aujourd’hui que certains médecins refusent de traiter les patients démunis affiliés à la couverture maladie universelle (CMU).

Cap d’Agde : le racisme mis à nu

Lundi, 20 Janvier, 2014
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En mars 2001, répondant à une demande de réservation dans le Camping les chênes, Jean-Christophe Collin, propriétaire du camping, écrivait : « contrairement à la majorité de nos collègues nous continuons à accepter des groupes de jeunes, mais pas de « groupe composé de plus de 50% d’enfant de couleur afin d’éviter les clans. » En août 2003, le vice-président de SOS Racisme était alerté par un salarié travaillant dans le secteur de la location d’appartements et de chambres d’hôtels pour touristes que des discriminations étaient commanditées aux personnes chargées de réceptionner les appels des vacanciers ou de les accueillir à l’agence immobilière dans la commune du Cap d’Agde.

Sur ordre d'agences immobilières et d’hôtels, la responsable de la centrale de réservation de l’office du tourisme du Cap d’Agde donnait à ses employés une liste de 8 agences de la ville refusant catégoriquement de prendre les réservations des touristes aux « noms à consonance maghrébine ». Ces personnes sont alors dirigées vers d’autres agences immobilières « moins exigeantes ».

La discrimination plante sa tente au camping les Chênes

Vendredi, 17 Janvier, 2014
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En mars 2001, répondant à une demande de réservation dans le Camping les chênes, Jean-Christophe Collin, propriétaire du camping, écrivait : « contrairement à la majorité de nos collègues nous continuons à accepter des groupes de jeunes, mais pas de « groupe composé de plus de 50% d’enfant de couleur afin d’éviter les clans. »

Le foyer Guy Chevrot, situé à Laval, venait d’effectuer une demande de réservation par courrier auprès du camping les Chênes à Médis. Il transmettait les aveux du patron du camping à SOS Racisme.

 

Les boîtes de nuit condamnées pour discrimination

Jeudi, 16 Janvier, 2014
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Sur cette carte figure une trentaine d'affaires de discrimination en discothèque. Leur point commun est d’avoir chacune abouti à une victoire c’est-à-dire une condamnation en justice. Comme le montre ce répertoire d’affaires en justice, la discrimination s’exerce partout en France. Aucune région n’est épargnée. C’est pour cela que nous organisons régulièrement des testing dans tout le pays. Afin que ceux qui s’appliquent quotidiennement à bafouer les principes de la République doivent répondre de la justice. La discrimination n’est pas un mythe. Elle fait bel et bien partie du quotidien de nombreuses personnes, bien trop nombreuses… Avant même le logement ou l’emploi, dès l’entrée d’une discothèque les jeunes sont susceptibles d’être discriminés au motif qu’ils n’ont pas la bonne couleur, pas la bonne gueule.

 

L’affaire Kokou : le racisme tue

Jeudi, 9 Janvier, 2014
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Gustave Kokou, étudiant en philosophie d’origine togolaise, se rendait à la gare du village de Mortefontaine-en-Thelle (l’Oise) lorsqu’il croise son voisin, David Dumont. Celui-ci, accompagné de sa concubine, lui propose alors de monter dans sa voiture…

En route, David Dumont s’arrête chez les Bonnefis, famille de sa compagne, pour la déposer. Il sort de sa voiture, une violente altercation éclate entre les concubins. Antoine, frère d’Estelle, sort de chez lui, une arme à la main, se dirige vers son beaufrère et tire. David tombe. Gustave sort à son tour de la voiture pour le secourir, il prendra lui aussi deux balles, mortelles.

 

Lorsque cette tragédie se produit, le 7 janvier 1998, une question revient incessamment : pourquoi Gustave Kokou est-il mort ?

 

James Dindoyal : qu’il est loin le soleil…

Mercredi, 8 Janvier, 2014
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James Dindoyal, jeune mauricien de 24 ans, était venu en France en 1990 puis, toujours vers le nord, il est allé au Havre, en quête de travail pour vivre ... survivre ? À défaut, il poursuivrait plus loin… En Angleterre, peut-être ? Lui – qui venait du pays du soleil et des lagons paisibles – aurait pu, en connaissance de cause, répondre au chanteur que « la misère n’est pas moins pénible au soleil »… Mais James Dindoyal n’était pas contrariant.

Ses aïeux indiens étaient venus à Maurice pour travailler dans les champs de cannes car depuis l’abolition de l’esclavage, à partir de 1833 sur l’île, les africains avaient fuit ce travail de forçats pour devenir artisans ou pêcheurs. L’industrie sucrière avait besoin de bras bon marché et les anciens négriers allaient les chercher aux Indes. Tel un terrible cyclone qui broie les vies sur des générations, sans répit ni regrets, l’exil est-il une malédiction dédiée ?

 

 

Habib, 17 ans, tué par un policier

Mardi, 7 Janvier, 2014
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Vers 4h du matin le 13 Décembre 1998, la police est alertée, une patrouille intervient sur les lieux. Elle constate que deux jeunes tentent de voler une voiture. Le brigadier Henri Bois et son collègue tentent de les interpeller.

 

L’un des deux jeunes, Habib Ould Mohamed ou « Pipo », est touché par une balle tirée par le brigadier Henri Bois. Il réussit à s’enfuir. Mais quelques heures plus tard, une femme retrouve le corps du jeune, décédé d’une hémorragie. Habib dit « pipo » avait 17 ans.

 

« Au secours… la police ! »

Lundi, 6 Janvier, 2014
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Le 6 Novembre 1998, Sidney Manoka Nzeza, un jeune homme Zairois, meurt dans un commissariat de Tourcoing. Ce jeune boxeur de 25 ans marié à une française était le père d’un petit enfant.

 

Roumains et Bulgares : des sous-européens pour Sarkozy

Vendredi, 9 Mai, 2014
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Le 16 mai 2008, Le conseil d’état annule la circulaire Sarkozy sur les Roumains et les bulgares de 2006. C’est une victoire partielle mais importante dans sa lutte contre les discriminations surtout lorsqu’elles émanent des plus hautes sphères de l’Etat.

 

Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Intérieur veut anticiper « les conséquences migratoires » de l’entrée de la Roumanie et de la Bulgarie dans l’Union européenne au 1er janvier 2007. Il adresse donc, le 22 décembre 2006, à tous les préfets, une circulaire qui préconise des « modalités d’admission au séjour et d’éloignement des Roumains et des Bulgares » [spécifiques à ses deux pays] afin de contrer une « une charge déraisonnable pour le système d’assurance sociale français ».